Nous savons tous dans quelle proportion notre vie quotidienne a changé depuis l’apparition d’Internet et l’évolution technologique exponentielle qui accompagne nos vies depuis près de trois décennies. Tout comme nous, les médias traditionnels ont également dû s’adapter à cette évolution, sous peine d’avoir disparu entretemps. A l’aide du modèle PESO développé par la relationniste américaine Gini Dietrich, nous pouvons discerner 4 types de médias :
• PAID médias : les contenus payants – posts sponsorisés sur les médias sociaux, publicité affiliée, publicité native, reciblage publicitaire, publireportage, etc.
• EARNED médias : tout ce qui provient d’une action de promotion gratuite d’un autre média – blog d’influenceur, prescripteur, relations presse, relation avec les investisseurs etc.
• SHARED médias : les contenus partagés sur les médias sociaux, le co-branding, services communautaires, partenariats, etc.
• OWNED médias : les contenus directement publiés par la marque – sujets concernant les employés, clients, le contenu généré par les utilisateurs, webinaires, vidéos, podcasts, etc.
Parmi ces 4 types de médias, l’inbound PR se focalise majoritairement sur l’owned media, le contenu directement diffusé par la marque. C’est ce que les professionnels des RP savent le mieux faire : créer du contenu remarquable, parce que c’est le cœur de leur métier historique, leur ADN en quelque sorte.
Il existe aujourd’hui une inflation de parties-prenantes dans l’égosystème numérique
Contrairement au marketing, les relations publiques regorgent de points de contact avec les différentes parties prenantes concernée par la marque. Contrairement aux marketeurs, les relationnistes ne se contentent pas d’interagir uniquement avec les acheteurs mais développent des relations avec les médias, les investisseurs, les employés, les vendeurs, les prestataires, sociétés, communautés, ONG et j’en oublie, présentes sur le marché.
Chacun de ces groupes joue aujourd’hui le rôle d’un influenceur. Tout comme le commun des mortels, dont nous faisons tous partie, nous bénéficions aujourd’hui d’un nouveau pouvoir sur les marques. En effet, nos terminaux numériques personnels sont connectés de facon ininterrompue à Internet pour pouvoir partager nos expériences – bonnes ou mauvaises – à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Nous sommes désormais capables de diffuser nos message sur l’ensemble de la planète à travers nos différents réseaux sociaux numériques – pour autant que nos messages soient suffisamment remarquables pour être diffusés.
Et nous croyons même que c’est notre droit de consommActeurt. Puisque, comme le décrit si bien Brian Solis, l’auteur du livre « Permission Marketing », nous vivons désormais dans un « Égosystème » où la technologie moderne nous enseigne que nous sommes dorénavant la personne la plus importante au sein de notre univers numérique. Nous voilà donc transformés en véritables Narcisses égocentrés, adeptes de « personal Branding » et de « Selfies » auto-publiés sur nos blogs et dans nos réseaux sociaux préférés.
Mais tout ceci est trop beau pour être réaliste. La réalité est plus ambiguë. Tout comme nous, les médias, les blogueurs et les influenceurs sont également des êtres humains, tout comme les acheteurs des produits et services que nous commercialisons. Tous utilisent des moyens différents d’apprentissage, de lecture, d’écriture, et de recherche. Et tous ont dû également faire évoluer leurs comportements face à la révolution digitale. Le narcissisme ambiant a pénétré chacun de ces groupes pour leur faire suivre leur propre calendrier et disposer du pouvoir de choisir quoi consommer ou sur quoi travailler, aussi bien que ce qu’ils veulent complètement ignorer ou critiquer de façon négative.
Si ce sujet vous intéresse et que vous désirez en apprendre plus sur l'inbound PR, je vous invite à consulter le site pleeaase.com. Il s'agit de la première agence francophone européenne d'inbound PR.
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• EARNED médias : tout ce qui provient d’une action de promotion gratuite d’un autre média – blog d’influenceur, prescripteur, relations presse, relation avec les investisseurs etc.
• SHARED médias : les contenus partagés sur les médias sociaux, le co-branding, services communautaires, partenariats, etc.
• OWNED médias : les contenus directement publiés par la marque – sujets concernant les employés, clients, le contenu généré par les utilisateurs, webinaires, vidéos, podcasts, etc.
Parmi ces 4 types de médias, l’inbound PR se focalise majoritairement sur l’owned media, le contenu directement diffusé par la marque. C’est ce que les professionnels des RP savent le mieux faire : créer du contenu remarquable, parce que c’est le cœur de leur métier historique, leur ADN en quelque sorte.
Il existe aujourd’hui une inflation de parties-prenantes dans l’égosystème numérique
Contrairement au marketing, les relations publiques regorgent de points de contact avec les différentes parties prenantes concernée par la marque. Contrairement aux marketeurs, les relationnistes ne se contentent pas d’interagir uniquement avec les acheteurs mais développent des relations avec les médias, les investisseurs, les employés, les vendeurs, les prestataires, sociétés, communautés, ONG et j’en oublie, présentes sur le marché.
Chacun de ces groupes joue aujourd’hui le rôle d’un influenceur. Tout comme le commun des mortels, dont nous faisons tous partie, nous bénéficions aujourd’hui d’un nouveau pouvoir sur les marques. En effet, nos terminaux numériques personnels sont connectés de facon ininterrompue à Internet pour pouvoir partager nos expériences – bonnes ou mauvaises – à n’importe quelle heure du jour et de la nuit. Nous sommes désormais capables de diffuser nos message sur l’ensemble de la planète à travers nos différents réseaux sociaux numériques – pour autant que nos messages soient suffisamment remarquables pour être diffusés.
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Mais tout ceci est trop beau pour être réaliste. La réalité est plus ambiguë. Tout comme nous, les médias, les blogueurs et les influenceurs sont également des êtres humains, tout comme les acheteurs des produits et services que nous commercialisons. Tous utilisent des moyens différents d’apprentissage, de lecture, d’écriture, et de recherche. Et tous ont dû également faire évoluer leurs comportements face à la révolution digitale. Le narcissisme ambiant a pénétré chacun de ces groupes pour leur faire suivre leur propre calendrier et disposer du pouvoir de choisir quoi consommer ou sur quoi travailler, aussi bien que ce qu’ils veulent complètement ignorer ou critiquer de façon négative.
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