Dans cette fonction de responsable de la communication, au service du Conseil Synodal de notre Eglise réformée évangélique, je m’engage notamment :
A redonner de la valeur à l’EREN et à ses différentes marques. Pour y parvenir nous devons lui apporter un vrai projet et le faire vivre au quotidien, à l’interne comme à l’externe, ce qui suppose la recherche et la mise en avant de cette valeur évangélique réformée neuchâteloise qu’il faudra bien faire percevoir et reconnaître par les habitants du canton de Neuchâtel comme une véritable valeur ajoutée.
A placer les Neuchâteloises et Neuchâtelois au centre de notre communication. Rapprocher la communication des habitants du canton de Neuchâtel nous oblige à partir d’abord des Neuchâtelois dans toutes nos démarches. Cette pratique implique aussi la mise au point de systèmes de gestion de qualité et de baromètres de satisfaction de nos différentes parties prenantes. Cet objectif a également des incidences sur les organigrammes, le recrutement, la formation, le marketing non marchand et les modes et formes de communication que nous utilisons.
A optimiser les différents modes et circuits de communication existants et à en créer d’autres plus efficaces si nécessaire. Il faut définir des principes et des méthodes d’optimisation permettant d’approcher la communication d’une façon plus globale et plus synergique. Cela passe d’abord par la prise en compte de l’ensemble des médias humains et physiques de l’organisation elle-même, et implique également de définir un territoire complet de communication, organisé et fort.
A définir une communication beaucoup plus percutante. Il s’agit de l’adapter à un environnement évolutif et hyperconcurrentiel en la rendant plus spécifique et plus populaire, mais aussi beaucoup plus souple et rapide. Il faudra pourtant qu’elle reste stratégique car on ne remporte pas de succès sans bonne stratégie. Bien sûr cet objectif ne pourra être atteint que si notre communication est en phase avec les attentes et les comportements des membres de l’EREN et de la population neuchâteloise.
A rechercher une communication plus économique. S’il est vrai que la recherche d’économies est aujourd’hui une nécessité absolue, l’optimisation du coût global de la communication notre église constitue en elle-même une source considérable d’amélioration de son efficacité en diminuant le gaspillage et en redistribuant ses moyens pour gagner en efficacité.
Toutes ces conditions et objectifs ont pour but de tendre vers l’excellence, autrement dit, d’évangéliser plus et mieux, mais aussi de valoriser l’EREN et la rendre plus prospère, afin qu’elle puisse jouer son rôle moteur vers une société neuchâteloise meilleure, en faisant progresser les hommes selon les enseignements de Jésus Christ.
La deuxième partie de la vidéo met en scène le pasteur Heiner Schubert racontant une parabole tout en l'illustrant en direct sur un rétroprojecteur. Je trouve que c'est un moyen très efficace pour bien graver l'histoire racontée dans nos mémoires grâce à l'utilisation simultanée de deux sens, l'ouïe et la vue. J'ai vécu un riche moment dans ce magnifique cadre de Montmirail en compagnie de la Communauté Don Camillo...dont le nom s'inspire du plus célèbre des curés si magnifiquement mis en scène sous les traits du regretté Fernandel. Que du bonheur!
A redonner de la valeur à l’EREN et à ses différentes marques. Pour y parvenir nous devons lui apporter un vrai projet et le faire vivre au quotidien, à l’interne comme à l’externe, ce qui suppose la recherche et la mise en avant de cette valeur évangélique réformée neuchâteloise qu’il faudra bien faire percevoir et reconnaître par les habitants du canton de Neuchâtel comme une véritable valeur ajoutée.
A placer les Neuchâteloises et Neuchâtelois au centre de notre communication. Rapprocher la communication des habitants du canton de Neuchâtel nous oblige à partir d’abord des Neuchâtelois dans toutes nos démarches. Cette pratique implique aussi la mise au point de systèmes de gestion de qualité et de baromètres de satisfaction de nos différentes parties prenantes. Cet objectif a également des incidences sur les organigrammes, le recrutement, la formation, le marketing non marchand et les modes et formes de communication que nous utilisons.
A optimiser les différents modes et circuits de communication existants et à en créer d’autres plus efficaces si nécessaire. Il faut définir des principes et des méthodes d’optimisation permettant d’approcher la communication d’une façon plus globale et plus synergique. Cela passe d’abord par la prise en compte de l’ensemble des médias humains et physiques de l’organisation elle-même, et implique également de définir un territoire complet de communication, organisé et fort.
A définir une communication beaucoup plus percutante. Il s’agit de l’adapter à un environnement évolutif et hyperconcurrentiel en la rendant plus spécifique et plus populaire, mais aussi beaucoup plus souple et rapide. Il faudra pourtant qu’elle reste stratégique car on ne remporte pas de succès sans bonne stratégie. Bien sûr cet objectif ne pourra être atteint que si notre communication est en phase avec les attentes et les comportements des membres de l’EREN et de la population neuchâteloise.
A rechercher une communication plus économique. S’il est vrai que la recherche d’économies est aujourd’hui une nécessité absolue, l’optimisation du coût global de la communication notre église constitue en elle-même une source considérable d’amélioration de son efficacité en diminuant le gaspillage et en redistribuant ses moyens pour gagner en efficacité.
Toutes ces conditions et objectifs ont pour but de tendre vers l’excellence, autrement dit, d’évangéliser plus et mieux, mais aussi de valoriser l’EREN et la rendre plus prospère, afin qu’elle puisse jouer son rôle moteur vers une société neuchâteloise meilleure, en faisant progresser les hommes selon les enseignements de Jésus Christ.
La deuxième partie de la vidéo met en scène le pasteur Heiner Schubert racontant une parabole tout en l'illustrant en direct sur un rétroprojecteur. Je trouve que c'est un moyen très efficace pour bien graver l'histoire racontée dans nos mémoires grâce à l'utilisation simultanée de deux sens, l'ouïe et la vue. J'ai vécu un riche moment dans ce magnifique cadre de Montmirail en compagnie de la Communauté Don Camillo...dont le nom s'inspire du plus célèbre des curés si magnifiquement mis en scène sous les traits du regretté Fernandel. Que du bonheur!