Le professeur bernois Werner Hartmann est un homme modeste qui n'espère par détrôner le géant Google grâce à sa dernière invention. Ce chargé de cours de technologies informatiques de la Haute Ecole Pédagogique de Berne et son collègue Sam Zürcher viennent pourtant de dévoiler un nouveau service de moteur de recherche baptisé HORIZOBU.
Ce projet est né dans un garage il y a trois ans. Leur idée de base était simple: Utiliser les spécificités du web 2.0 pour un service de découverte d'informations numériques. En d'autres mots, il se sont appliqués à développer une machine à découvrir l'environnement au lieu d'un robot de recherche. Ceci étant dit, voyons plus concrètement comment fonctionne ce nouveau service. Lorsqu'on effectue une recherche, Horizobu consulte d'abord des médias sociaux populaires tels que Wikipedia ou youtTube et analyse les interactions relatives à ce sujet auuprès des utilisateurs de ces services. Cette nouvelle stratégie de recherche d'informations enrichit les résultats actuels auxquels Google et compagnie nous ont habitués et permet d'enrichir la recherche par de nouveaux résultats jusqu'ici invisibles sans l'apport d'Horizobu.
Mais la différence ne s'arrête pas là. Les créateurs d'Horizobu ont remarqué que bon nombre d'internautes ne s'intéressent qu'aux premiers résultats d'une recherche sur les services qu'ils utilisent habituellement et oublient tout le reste. Prenant en compte cette pratique, Horizobu n'affiche que les meilleurs résultats d'une recherche et oublie les résultats moins pertinents.
Cerise sur le gâteau, l'utilisateur peut enregistrer et ordonner l'information à sa guise et la transmettre aux membres de ses communautés d'intérêt par l'intermédiaire des réseaux sociaux.
Je vous invite à visionner la vidéo explicative qui décrit ce nouveau service et à vous l'approprier dans vos recherches. Vous verrez on y devient vite accro. Et cela contribue à démontrer que les informaticiens suisses n'ont rien à envier à leurs concurrents anglo-saxons. Cocorico!
Ce projet est né dans un garage il y a trois ans. Leur idée de base était simple: Utiliser les spécificités du web 2.0 pour un service de découverte d'informations numériques. En d'autres mots, il se sont appliqués à développer une machine à découvrir l'environnement au lieu d'un robot de recherche. Ceci étant dit, voyons plus concrètement comment fonctionne ce nouveau service. Lorsqu'on effectue une recherche, Horizobu consulte d'abord des médias sociaux populaires tels que Wikipedia ou youtTube et analyse les interactions relatives à ce sujet auuprès des utilisateurs de ces services. Cette nouvelle stratégie de recherche d'informations enrichit les résultats actuels auxquels Google et compagnie nous ont habitués et permet d'enrichir la recherche par de nouveaux résultats jusqu'ici invisibles sans l'apport d'Horizobu.
Mais la différence ne s'arrête pas là. Les créateurs d'Horizobu ont remarqué que bon nombre d'internautes ne s'intéressent qu'aux premiers résultats d'une recherche sur les services qu'ils utilisent habituellement et oublient tout le reste. Prenant en compte cette pratique, Horizobu n'affiche que les meilleurs résultats d'une recherche et oublie les résultats moins pertinents.
Cerise sur le gâteau, l'utilisateur peut enregistrer et ordonner l'information à sa guise et la transmettre aux membres de ses communautés d'intérêt par l'intermédiaire des réseaux sociaux.
Je vous invite à visionner la vidéo explicative qui décrit ce nouveau service et à vous l'approprier dans vos recherches. Vous verrez on y devient vite accro. Et cela contribue à démontrer que les informaticiens suisses n'ont rien à envier à leurs concurrents anglo-saxons. Cocorico!