Plutôt que de nous plaindre, nous devrions être enthousiastes, car le RGPD offre une amélioration considérable de qualité de vie quant à la manière dont les citoyens européens veulent vraiment être informés, par qui, à propos de quoi et à quelle fréquence.
Le GPDR est en phase avec la philosophie de l’inbound marketing
Il indique que les entreprises doivent être transparentes et équitables quant à la manière dont elles collectent, traitent et utilisent les données personnelles des citoyens européens. Bien qu’il s’agisse d’une loi européenne, elle concerne tout distributeur qui collecte des données personnelles sur une base globale.
Cela signifie essentiellement que les gens doivent d'abord vous donner leur consentement pour que vous puissiez collecter et utiliser leurs données pour communiquer avec eux et uniquement pour des raisons spécifiques prédéfinies.
Cela correspond tout à fait à la philosophie de l’inbound. L’inbound attire les internautes dans votre entreprise où ils partagent volontiers leurs informations avec vous en échange d’un contenu à valeur ajoutée qu’ils auront commandé. Depuis l’introduction du GPDR, vous n’avez plus le droit d’utiliser des listes de contacts de personnes qui n’ont jamais entendu parler de vous ou qui n’ont jamais été attirées par votre contenu en ligne ( ni accepté de le recevoir). Leur envoyer des courriels non sollicités est devenu désormais illégal et est punissable par la loi !
Depuis l’introduction du RPGD, les citoyens européens peuvent désormais demander la suppression de leurs données, quel que soit le lieu où vous stockez leurs informations personnelles.
Le GDPR redonne essentiellement ale contrôle de leurs données personnelles aux consommateurs européens. Dans le cadre de vos opérations de relations publiques, cela concerne bien évidemment les journalistes et les influençeurs qui vous concernent.
Vous ne pouvez désormais plus présumer que quelqu'un souhaite être contacté, même s'il remplit un formulaire sur votre site Web. Les internautes doivent vous donner leur consentement spécifique d’acceptation de votre courrier électronique. Pour chaque contact, vous devez donc rassembler et conserver le consentement (avec préavis) de chaque internaute avant de lui transmettre une information.
Cela signifie essentiellement que les gens doivent d'abord vous donner leur consentement pour que vous puissiez collecter et utiliser leurs données pour communiquer avec eux et uniquement pour des raisons spécifiques prédéfinies.
Cela correspond tout à fait à la philosophie de l’inbound. L’inbound attire les internautes dans votre entreprise où ils partagent volontiers leurs informations avec vous en échange d’un contenu à valeur ajoutée qu’ils auront commandé. Depuis l’introduction du GPDR, vous n’avez plus le droit d’utiliser des listes de contacts de personnes qui n’ont jamais entendu parler de vous ou qui n’ont jamais été attirées par votre contenu en ligne ( ni accepté de le recevoir). Leur envoyer des courriels non sollicités est devenu désormais illégal et est punissable par la loi !
Depuis l’introduction du RPGD, les citoyens européens peuvent désormais demander la suppression de leurs données, quel que soit le lieu où vous stockez leurs informations personnelles.
Le GDPR redonne essentiellement ale contrôle de leurs données personnelles aux consommateurs européens. Dans le cadre de vos opérations de relations publiques, cela concerne bien évidemment les journalistes et les influençeurs qui vous concernent.
Vous ne pouvez désormais plus présumer que quelqu'un souhaite être contacté, même s'il remplit un formulaire sur votre site Web. Les internautes doivent vous donner leur consentement spécifique d’acceptation de votre courrier électronique. Pour chaque contact, vous devez donc rassembler et conserver le consentement (avec préavis) de chaque internaute avant de lui transmettre une information.
Conséquences de l’introduction du GDPR pour les relations publiques
Cela change complètement le mode de fonctionnement intrusif de la plupart des agences de relations publiques jusqu’alors. Vous ne pouvez désormais plus transmettre d’envoi de masse à vos journalistes ni à la base de données de vos influenceurs par courrier électronique, car bon nombre d'entre eux ne désirent peut-être plus recevoir de vos nouvelles. Vous ne pouvez pas non plus divulguer la liste des journalistes que vous avez utilisés dans le cadre d’une campagne à votre client sans le consentement explicite de ces derniers, sous peine de violer cette nouvelle loi.
L'inbound PR à la rescousse
L'idée est que vous définissiez vos avatars média (media persona) – les journalistes et les influenceurs idéaux pour vous ou votre client - et listiez leurs habitudes, problèmes, défis, préférences. Après cela, vous définissez leur processus de prise de décision ou la manière dont ils procéderaient pour vous identifier en ligne comme solution à leur problème ou comme source d’information dans le cadre du sujet sur lequel ils planchent. Connaissant ces éléments, vous pouvez désormais créer un plan de contenu et commencer à publier du contenu, en rassemblant ce dernier dans une salle virtuelle de rédaction (newsroom) spécialement conçue à l’attention de votre média persona. Grâce à cette newsroom, les journalistes et influenceurs peuvent librement choisir de recevoir des mises à jour de contenus, des rapports et d'autres types d'informations que vous publierez à leur attention. La newsroom représente également un moyen facile et efficace de vous contacter une fois qu'ils auront terminé leurs recherches et qu'ils seront prêts à publier leur article, billet ou reportage.
Cette manière de procéder représente la clé de voute de l’inbound marketing ou du « pull marketing » : attirer les gens - ils viennent à vous. Et quand ils vous contactent d'eux-mêmes (parce que vous leur avez fourni vos coordonnées dans votre newsroom), vous ne contrevenez pas à la législation GDPR.
Les relations publiques entrantes (inbound PR) évoluent autour des relations humaines. Créer une telle expérience à l’attention des professionnels des médias vous concernant signifie également d’établir des relations à long terme avec eux. Car vous leur faites gagner du temps grâce à la mise à disposition de contenu déjà fourni dans votre salle de rédaction. De plus, vous ne leur envoyez pas (illégalement) ce contenu sous forme de spams avec des éléments qu'ils ne souhaitent peut-être pas recevoir. En effet, Ils peuvent choisir ce qu’ils reçoivent. Une fois prêts, ils vous contacteront beaucoup plus volontiers car vous les aurez aidés à faire leur travail.
Cette manière de procéder représente la clé de voute de l’inbound marketing ou du « pull marketing » : attirer les gens - ils viennent à vous. Et quand ils vous contactent d'eux-mêmes (parce que vous leur avez fourni vos coordonnées dans votre newsroom), vous ne contrevenez pas à la législation GDPR.
Les relations publiques entrantes (inbound PR) évoluent autour des relations humaines. Créer une telle expérience à l’attention des professionnels des médias vous concernant signifie également d’établir des relations à long terme avec eux. Car vous leur faites gagner du temps grâce à la mise à disposition de contenu déjà fourni dans votre salle de rédaction. De plus, vous ne leur envoyez pas (illégalement) ce contenu sous forme de spams avec des éléments qu'ils ne souhaitent peut-être pas recevoir. En effet, Ils peuvent choisir ce qu’ils reçoivent. Une fois prêts, ils vous contacteront beaucoup plus volontiers car vous les aurez aidés à faire leur travail.
Conseils GDPR à prendre en compte dans le cadre de vos opérations de relations publiques
Quelle que soit l'approche choisie, voici quelques conseils GDPR à prendre en compte dans le cadre de vos opérations de relations publiques:
• Passez en revue votre base de données de médias et purgez vos contacts.
• Créez une campagne de permission pour obtenir le consentement des journalistes et influenceurs concernés, notamment en ce qui concerne les données historiques de vos contacts média/influenceurs.
• Ajoutez vos contacts médias pertinents dans la base de données de votre logiciel CRM ou tout autre logiciel similaire, où vous pourrez consolider, gérer et trier leurs données dans un endroit unique si vous ne possédez pas d'autre système.
• Assurez-vous de disposer d'une stratégie et d'un contrôleur de données pour vous conseiller le cas échéant.
• Protégez par un mot de passe les documents et l'accès en ligne aux systèmes concernés, à l’instar de votre CRM.
• Formez toute votre équipe concernées à la gestion des données de type « opt-in » (appartenant à un destinataire qui a donné son autorisation pour recevoir des emails publicitaires ou des propositions commerciales. Cette autorisation est donnée de façon claire et formelle par l’utilisateur au moment où ce dernier s’inscrit, par exemple, à un site internet ou une newsletter. Elle est obligatoire au sein de l’Union Européenne depuis le mois de mai 2018 suite à l’introduction de la législation GDPR).
Vous pouvez trouver toutes les informations concernant le GDPR sur le site de la Commission Européenne.
En tant qu’entrepreneur suisse, vous êtes également soumis au GPDR si vous vous adressez à des internautes domiciliés dans l’Union Européenne. Si tel n’est pas le cas, vous serez bientôt soumis à une législation similaire dans le cadre de la révision de la loi suisse sur la protection des données. Dans tous les cas, il est donc important d’agir en conséquence et d’appliquer dès aujourd’hui cette nouvelle manière de s’adresser à ses différentes parties-prenantes avec ou sans obligation légale de respecter le GPDR.
• Passez en revue votre base de données de médias et purgez vos contacts.
• Créez une campagne de permission pour obtenir le consentement des journalistes et influenceurs concernés, notamment en ce qui concerne les données historiques de vos contacts média/influenceurs.
• Ajoutez vos contacts médias pertinents dans la base de données de votre logiciel CRM ou tout autre logiciel similaire, où vous pourrez consolider, gérer et trier leurs données dans un endroit unique si vous ne possédez pas d'autre système.
• Assurez-vous de disposer d'une stratégie et d'un contrôleur de données pour vous conseiller le cas échéant.
• Protégez par un mot de passe les documents et l'accès en ligne aux systèmes concernés, à l’instar de votre CRM.
• Formez toute votre équipe concernées à la gestion des données de type « opt-in » (appartenant à un destinataire qui a donné son autorisation pour recevoir des emails publicitaires ou des propositions commerciales. Cette autorisation est donnée de façon claire et formelle par l’utilisateur au moment où ce dernier s’inscrit, par exemple, à un site internet ou une newsletter. Elle est obligatoire au sein de l’Union Européenne depuis le mois de mai 2018 suite à l’introduction de la législation GDPR).
Vous pouvez trouver toutes les informations concernant le GDPR sur le site de la Commission Européenne.
En tant qu’entrepreneur suisse, vous êtes également soumis au GPDR si vous vous adressez à des internautes domiciliés dans l’Union Européenne. Si tel n’est pas le cas, vous serez bientôt soumis à une législation similaire dans le cadre de la révision de la loi suisse sur la protection des données. Dans tous les cas, il est donc important d’agir en conséquence et d’appliquer dès aujourd’hui cette nouvelle manière de s’adresser à ses différentes parties-prenantes avec ou sans obligation légale de respecter le GPDR.
Accompagnement d'une stratégie de mise en conformité de vos activités de relations publiques avec la loi sur la protection des données
En tant que première agence francophone d’inbound PR, l’agence pleeaase .com peut vous aider à mettre en place une telle stratégie et vous fournir les outils nécessaires pour y parvenir. Sur demande, nous vous fournirons un devis de collaboration sans engagement de votre part.