Plus besoin de courir chez le marchand de journaux c’est le livreur virtuel de journaux qui visite désormais mon ordinateur. Le monde de l’édition à l’envers en quelque sorte. Et cela fidélise les lecteurs qui se transforment de simples consommateurs zappant d’une source d’informations à l’autre en des abonnés virtuels disposant d’un degré de fidélité à mon égard en tant que fournisseur de contenu.
Les moteurs de recherches me proposent également des informations selon les filtres de recherche que j’ai spécialement définis pour alimenter ma curiosité dans les domaines qui m’intéressent.
La socialisation des médias développe les interactions entre les fournisseurs et les consommateurs d’informations. C’est un progrès humanitaire important. Sachons en tirer profit.