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Pensée socialnomique
Les pensées socialnomiques sont mes pensées relatives à la communication 2.0 au quotidien de mon activité professionnelle et privée. La socialnomie représente la convergence du secteur social avec l'économie. Il se reflète dans le Permission marketing et la communication participative. Son abréviation la plus courante et l'adjonction 2.0

Les meilleures idées de marketing viral ne naissent pas toujours (voire jamais ;-)) au sein des départements marketing. Pour rencontrer du succès, il est prudent de s'allier aux programmes populaires déjà en place et de partager leurs expériences en la matière.


Pensée socialnomique du lundi 13 décembre 2010
Une bonne idée de marketing viral ne fonctionnera que si elle est plébiscitée par les internautes. Aucun département marketing et aucun budget ne sera assez puissant pour faire émerger une mauvaise idée sur le web – à moins qu’elle soit critiquée négativement par les amateurs de médias sociaux.

C’est pour cette raison que les spécialistes du marketing ont encore beaucoup à apprendre dans ce domaine. Ils sont historiquement habitués à diffuser des messages commerciaux aux groupes qu’ils auront ciblés à grand renfort de matraquage publicitaire.

Cette manière de fonctionner n’est pas possible dans le cadre du marketing viral. C’est l’audience qui décide ou ne décide pas de relayer leur message auprès de sa communauté. Cela peut dérouter plus d’un publicitaire.


Lundi 11 Juillet 2011 | Commentaires (0)

Marque (tague) tes informations pour mieux les classifier et les retrouver le jour J.


Pensée socialnomique du vendredi 10 décembre 2010 - Marque tes informations pour mieux les classifier et les retrouver le jour J
L’un des principes clé des médias sociaux réside dans la possibilité pour des millions d’utilisateurs de marquer (taguer/tag) une information en lui attribuant un ou plusieurs mots clés. Ce marquage aide les internautes à classifier les informations qu’ils publient ou enregistrent. Habituez-vous à le faire régulièrement. Cela facilitera vos recherches d'informations.


Dimanche 10 Juillet 2011 | Commentaires (0)

Grâce aux médias sociaux, nous ne cherchons plus les nouvelles car ce sont elles qui nous trouvent.


Pensée socialnomique du jeudi 9 décembre 2010 - Grâce aux médias sociaux, nous ne cherchons plus les nouvelles car ce sont elles qui nous trouvent
Les médias sociaux me permettent de lire les informations qui intéressent les membres de mes communautés d’intérêts. Grâce aux fils RSS je m’abonne aux sources d’informations désirées et les reçois en temps réel pour les lire lorsque j’en ai le temps et l’envie.

Plus besoin de courir chez le marchand de journaux c’est le livreur virtuel de journaux qui visite désormais mon ordinateur. Le monde de l’édition à l’envers en quelque sorte. Et cela fidélise les lecteurs qui se transforment de simples consommateurs zappant d’une source d’informations à l’autre en des abonnés virtuels disposant d’un degré de fidélité à mon égard en tant que fournisseur de contenu.

Les moteurs de recherches me proposent également des informations selon les filtres de recherche que j’ai spécialement définis pour alimenter ma curiosité dans les domaines qui m’intéressent.

La socialisation des médias développe les interactions entre les fournisseurs et les consommateurs d’informations. C’est un progrès humanitaire important. Sachons en tirer profit.


Samedi 9 Juillet 2011 | Commentaires (0)

Les magazines et les journaux traditionnels luttent pour suvrivre en ligne parce que leurs principaux fournisseurs d'information à valeur ajoutée sont bien souvent des chroniqueurs ou blogueurs indépendants qui écrivent pour évangéliser leurs croyances publiquement, et non pas pour contribuer à vendre des abonnements ou des exemplaires d'un tigre ou faire croître les rentrées publicitaires d'un média dont ils ne sont pas les employés.


Pensée socialnomique du mercredi 8 décembre 2010 - la crise de la valorisation du contenu donne des cheveux blancs aux médias traditionnels
La motivation personnelle de ces fournisseurs de contenu indépendants et de transmettre leurs informations à un maximum de personnes et pas uniquement à une audience limitée au lectorat d’un titre.

C’est pour cette raison qu’ils publient du contenu gratuitement sur la toile, sous forme de billets, vidéos, podcast ou tweets. Cette réalité handicape les journalistes dépendants des éditeurs traditionels car ils ne sont pas autorisés à diffuser leur contenu librement et gratuitement.

Afin de remonter la pente, les éditeurs devaient se poser la question comment valoriser au maximum le contenu qu'ils souhaitent diffuser. Ce faisant, ils n'auront pas de peine à le commercialiser car une partie non négligeable du grand public est prête à payer pour bénéficier d'information à valeur ajoutée sous forme d'analyse, d'exclusivité et de conseil.

Malheureusement pour eux, le public ne sait plus très bien sur quel pied danser. Pourquoi leur faudrait-il continuer à acheter du contenu payant si ce dernier peut être consommé gratuitement en ligne? Tout ceci est dû aux érances des éditeurs, depuis bientôt deux décennies écartelés entre les modèles d'affaires contradictoires du contenu gratuit et du contenu payant.

Pour suvrivre, les éditeurs doivent impérativement déterminer quelle sera leur stratégie et s'y tenir impérativement sans plus louvoyer. Il en va de leur survie.


Vendredi 8 Juillet 2011 | Commentaires (0)

L'utilisation des médias sociaux nécessite la complète refonte de nos modèles d'affaires. Pour ce faire, il ne s'agit pas de simplement dupliquer nos modèles d'affaires traditionnels sur les médias sociaux mais de les repenser complètement afin d'utiliser au mieux les spécificités de la participation des internautes sur le web.


Pensée socialnomique du mardi 7 décembre 2010 - l'utilisation des médias sociaux implique la refonte de nos modèles d'affaires.
llustrons cela par un exemple relatif à la communication de marque. Il s'agit de transposer ses messages clés sous la forme séquentielle d'un dialogue interactif avec sa communauté. Mais le message via les médias sociaux ne devra pas pour autant différer de celui véhiculé par les médias traditionnels. Sinon gare à la schizophrénie de marque!

La communication commerciale (publicité;) devra être particulièrement remaniée pour pourvoir être diffusée par les médias sociaux. En effet, son mode unilatéral, son manque de dialogue et ses propriétés interruptives conviennent particulièrement mal aux adeptes de médias sociaux. En ne retravaillant pas suffisamment ses messages commerciaux, la marque risque d'entacher sa réputation en suscitant des réactions négatives de sa communauté. Attention donc à bien anticiper ce genre de problème pour tirer parti du web participatif.


Jeudi 7 Juillet 2011 | Commentaires (0)

L'adoption du vote en ligne pourrait faire économiser quelque 6,7 milliards de dollars US de perte de productivité, dans le cadre de l'élection présidentielle américaine.


Pensée socialnomique du jeudi 20 janvier 2011 - Le vote en ligne nous ferait économiser de la perte de productivité
Pourtant le vote électronique connaît un succès mitigé dans notre pays. Pour mémoire, La NZZ am Sonntag annoncait dans ses colonnes, le 5 décembre dernier, que le chef de l'office cantonal zurichois des statistiques avait décidé de stopper la phase test de votation électronique dès 2011 pour des raisons d'ordres ergonomique et sécuritaire. Dommage. Espérons que les autres cantons suisses poursuivront ce test afin que la Suisse reste un modèle de démocratie qui avance avec son temps.


Mercredi 6 Juillet 2011 | Commentaires (0)

On reproche souvent aux réseaux sociaux d'être chronophages. Leur utilisation inquiète bon nombre d'entreprises qui en interdisent l'usage à leurs employé;)e)s. Pourtant l'utiiisation des réseaux sociaux est profitable à l'entreprise et ses marques. Comment faire comprendre à ses employés que le département marketing est en train d'inaugurer la page facebook de sa marque fétiche alors que les employés de l'entreprise sont interdits de réseaux sociaux durant les heures de bureau? C'est impossible et cela décrédibilise l'institution.


Pensée socialnomique du lundi 6 décembre 2010 - Les réseaux sociaux nous rendent plus productifs et nous évitent l'indigestion d'information
Pour profiter des terres encore vierges et non défrichées des médias sociaux, encouragez vos employés à développer leur présence sur le web social. Ce faisant et en affichant leur fierté de travailler pour un employeur qui favorise l'utillisation des réseaux sociaux, vous contribuerez à crédibiliser votre marque dans l'esprit des autres membres de communautés virtuelles concernées.

De plus, le réseautage en ligne contribue à rapprocher les internautes des marques qu'ils plébiscitent. En participant activement à cette conversation numérique, vous vous épargnerez certaines onéreuses études de marché et pourrez réagir plus rapidement aux critiques émises par votre clientèle en ligne.


Mercredi 6 Juillet 2011 | Commentaires (0)

L'apparition d'Internet a fragmenté les marchés en créant d'innombrables niches ultraspécialisées. Pour survivre dans ce nouveau marché hyperfragmenté, nous devons trouver notre particularité, notre unicité et vendre nos services dans cet état d'esprit. C'est le but du "Personal Branding".


Pensée socialnomique du vendredi 3 décembre 2010 - Les réseaux sociaux aident les internautes à mieux comprendre comment agit la majorité de leurs semblables
Pourtant, notre condition humaine nous pousse à savoir et à contrôler ce que pensent nos semblables. Cela nous rassure de savoir que nous ne sommes pas seuls à penser de la sorte. Les réseaux sociaux représentent un lieu d'échange sans frontière et contribuent à nous rassurer lorsque nous émettons une nouvelle idée qui reçoit l'aprobation d'autres internautes connus ou inconnus.

Les pensées socialnomiques se reposent durant l'été. C'est l'occasion de redécouvrir leurs meilleures morceaux depuis leur création au mois de décembre 2010.


Pensées socialnomiques de l'été - Rétrospective estivale des pensées socialnomiques de Mathieu Janin
Les médias sociaux influencent notre société comme aucun média n'a pu le faire jusqu'à présent. Cela donne à réfléchir et Mathieu Janin y pense chaque jour. C'est dans ce but qu'il publiie ses pensées socialnomiques quotidiennes. Découvrez-les sur son ancien blog ou dans la rubrique "Pensée socialnomique" de ce nouveau blog. Vos commentaires sont bienvenus. Bon été!

Je n'apprécie pas la dénomination de "média social" pour deux raisons. La première est que le terme de média nous fait immédiatement penser au "push marketing", le fait de transmettre de l'information de façon unilatérale et interruptive à une audience qui n'a pas forcément envie de la consommer. La deuxième est que le terme social ne veut pas dire grand chose à une époque où ce terme est galvaudé dans de nombreuses expressions courantes.


Pensée socialnomique du lundi 3 juillet 2011 – l’acte social numérique est indispensable à la vie du réseau. Sinon sa mort est programmée
Depuis des décennies, les médias nous ont imposé leurs programmes et leurs heures de diffusion. Nous devions adapter nos vies et interrompre nos occupations pour regarder le téléjournal à midi ou le soir, sous peine de ne plus savoir ce qui se passait dans le monde. C'était l'époque de la dictature du petit écran.

Les médias sociaux sont différents. Il ne véhiculent pas de l'information dans une seule direction mais représentent plutôt des vecteurs de conversation numériques entre deux ou plusieurs correspondants.

Les médias traditionnels sont passifs. Avez-vous déjà observer un jeune enfant regarder la télévision? C'est une expérience terrifiante car votre petit diable se transforme immédiatement en légume passif et ne donne pratiquement plus de signes de vie, respiration mise à part. Les médias sociaux sont différents. Ils ne sont jamais passifs et toujours en action car c'est l'être humain qui transfère de l'information aux autres membres de sa communauté. Sans action il n'y aurait pas de transmission d'information.


Facebook n'est pas un média en tant que tel. Ce réseau sera mort demain si ses utilisateurs n'interagissent plus. Twitter n'est pas un média social si vous vous contentez de diffusez des actualisations de billets de blog ou des liens d'articles. Dans ce cas, ce ne serait qu’une imitation d'un fil RSS limité à 140 caractères.

L'interaction entre les émetteurs et récepteurs de contenus représente la valeur ajoutée des médias sociaux. Contrairement à leurs ancêtres, les médias sociaux permettent le "feed-back". Et ce feedback enrichit la conversation et représente une valeur ajoutée incontestable qui plaît aux internautes. Raison pour laquelle ils plébiscitent de plus en plus l'utilisation de ces nouveaux médias et abandonnent les médias traditionnels.

Si vous avez créé une page Facebook au nom de votre entreprise, d'un produit ou d'un service. Vous devez l'actualiser régulièrement en l'alimentant avec de l'information fraîche. Si vous ne le faites pas, vous resterez noyé dans la masse des pages invisibles et moribondes qui forment la majorité de la blogosphère. Vos amis sur Facebook désirent que vous entriez en contact avec eux. Que vous validiez leurs choix et que vous commentiez leur actualité. Sans interaction pas de vie numérique.

Cela équivaut également lorsque vous assurez votre promotion sur des réseaux sociaux tels que Linkedin. Vous serez numériquement mort-né si vous vous contentez de créer un profil sans l'alimenter régulièrement en actualité vous concernant.

Rédiger un blog n'est également pas un acte social si vous vous contentez de diffuser des billets à vos lecteurs. Votre blog gagnera sa dimension sociale lorsque vous répondrez aux commentaires de vos lecteurs et serez à leur écoute.

Les médias sociaux effraient les entreprises car elles se sont trop habituées, depuis de nombreuses décennies, à contrôler l’information. Pourtant, elle ne contrôlent rien du tout et s’exposent, si elles n’investissent pas à développer leur présence numérique dans les réseaux sociaux, aux informations négatives émises par leurs clients insatisfaits ainsi que par leurs compétiteurs.

En théorie, la recette est simple. Il s’agit de capitaliser sur son contenu numérique pour ferrer l’internaute. Mais cette stratégie demande du temps et de la patience. Deux valeurs qui ne sont pas très actuelles dans notre société d’aujourd’hui. Tous les paysans vous le diront. Il est impossible de récolter sans avoir préalablement semé. Les médias sociaux ne sont pas différents de l’agriculture. Investissez du temps à interagir avec d’autres internautes et enrichissez les conversations en ligne avec vos expériences et vos points de vue. Ainsi vous sortirez du lot et obtiendrez l’attention des autres membres de votre communauté et ils s’adresseront à vous et vous mandateront le jour où ils chercheront un produit ou service que vous commercialiser parce que vous aurez su gagner leur confiance et leur empathie grâce à votre présence avant vos concurrents.

Je n'apprécie pas la dénomination de "média social" pour deux raisons. La première est que le terme de média nous fait immédiatement penser au "push marketing", le fait de transmettre de l'information de façon unilatérale et interruptive à une audience qui n'a pas forcément envie de la consommer. La deuxième est que le terme social ne veut pas dire grand chose à une époque où ce terme est galvaudé dans de nombreuses expressions courantes.


Pensée socialnomique du vendredi 1er juillet 2011 – l’acte social numérique est indispensable à la vie du réseau. Sinon sa mort est programmée
Depuis des décennies, les médias nous ont imposé leurs programmes et leurs heures de diffusion. Nous devions adapter nos vies et interrompre nos occupations pour regarder le téléjournal à midi ou le soir, sous peine de ne plus savoir ce qui se passait dans le monde. C'était l'époque de la dictature du petit écran.

Les médias sociaux sont différents. Il ne véhiculent pas de l'information dans une seule direction mais représentent plutôt des vecteurs de conversation numériques entre deux ou plusieurs correspondants.

Les médias traditionnels sont passifs. Avez-vous déjà observer un jeune enfant regarder la télévision? C'est une expérience terrifiante car votre petit diable se transforme immédiatement en légume passif et ne donne pratiquement plus de signes de vie, respiration mise à part. Les médias sociaux sont différents. Ils ne sont jamais passifs et toujours en action car c'est l'être humain qui transfère de l'information aux autres membres de sa communauté. Sans action il n'y aurait pas de transmission d'information.




Vendredi 1 Juillet 2011 | Commentaires (0)

Je n'apprécie pas la dénomination de "média social" pour deux raisons. La première est que le terme de média nous fait immédiatement penser au "push marketing", le fait de transmettre de l'information de façon unilatérale et interruptive à une audience qui n'a pas forcément envie de la consommer. La deuxième est que le le terme social ne veut pas dire grand chose à une époque où ce terme est galvaudé dans de nombreuses expressions courantes.


Pensée socialnomique du vendredi 1er juillet 2011 -
Depuis des décennies, les médias nous ont imposé leur programmes et leurs heures de diffusion. Nous devions adapter nos vie et interrompre nos occupations pour regarder le téléjournal à midi ou le soir, sous peine de ne plus savoir ce qui se passait dans le monde. C'était l'époque de la dictature du petit écran.

Les médias sociaux sont différents. Il ne véhiculent pas de l'information dans une seule direction mais représentent plutôt des vecteurs de conversation numériques entre deux ou plusieurs correspondants.

Les médias traditionnels sont passifs. Avez-vous déjà observer un jeune enfant regarder la télévision? C'est une expérience terrifiante car votre petit diable se transforme immédiatement en légume passif et ne donne pratiquement plus de signes de vie, respiration mise à part. Les médias sociaux sont différents. Ils ne sont jamais passifs et toujours en action car c'est l'être humain qui transfère de l'information aux autres membres de sa communauté. Sans action il n'y aurait pas de transmission d'information.

Facebook n'est pas un média en tant que tel. Ce réseau sera mort demain si ses utilisateurs n'interagissent plus. Twitter n'est pas un média social si vous vous contentez de diffusez des actualisations de billets de blog ou des liens d'articles. Dans ce cas, ce ne serait q'une imitation d'un fil RSS limité à 140 caractères.



Vendredi 1 Juillet 2011 | Commentaires (0)

Nous lisons tous les mêmes statistiques décrivant le fulgurant essor du web social. L’utilisation de la vidéo en ligne explose puisqu’elle augmente de 45% par année (j’en suis moi-même co-responsable puisque je diffuse cette rubrique également sous forme de vidéo en ligne depuis quelques semaines). Le web devient de plus en plus mobile (+ 28% l’an dernier et nous passons de plus en plus de temps sur Internet. Du moins c’est ce que l’on croit.


Pensée socialnomique du jeudi 30 juin 2011 - Sans Facebook le web serait en décroissance aujourd'hui
Ce graphique démontre que Facebook croît de façon inversement proportionnelle au reste du web (du moins aux USA, certainement dans le reste du monde également).

En excluant Facebook de ce graphique, on remarque que la consommation moyenne nord-américaine de minutes passées sur Internet a diminué de neuf pourcent alors que celle de Facebook a augmenté de pratiquement septante pourcent entre mars 2010 et mars 2011. Mais notre temps est compté

Les internautes sont donc en train de changer leurs habitudes. Ils passent plus de temps à interagir avec leurs amis en ligne que de rechercher de l’information publiée sur des sites Internet, tels que nous le pratiquions à l’ère du web 1.0. Ce changement sonnera-t-il bientôt le glas de Google, première puissance mondiale Internet ? Ce ne serait pas le premier géant des nouvelles technologies qui disparaîtrait aussi vite qu’il a monopolisé la recherche d’informations en ligne sur l’ensemble de la planète.

Mais de moins en moins d’Internautes accordent leur confiance à des robots, préférant les conseils de leurs semblables. Google devrait réfléchir à cela et socialiser sa recherche avant de perdre ses parts de marché.

Tout le monde parle des médias sociaux. Tout le monde les utilise à la maison mais pas au travail car leur usage reste interdit dans la plupart des entreprises. Pourtant un nombre croissant de sociétés déploient leur présence, encore souvent bien timide, sur le web 2.0. Comment être crédible avec vous-même si vous recherchez de nouveaux prospects sur le net tout en interdisant à vos collaborateurs l'accès à ces nouvelles plate-formes? La réponse est simple. Il faut rapidement adapter votre politique d'entreprise concernant l'utilisation des médias sociaux.


Les excuses des responsables d'entreprises concernant leur manque d'activités sur les médias sociaux sont pratiquement toujours identiques. Manque de temps, Manque de retour sur investissement, crainte d'une diminution de la productivité de ses collaborateurs. On peut constater que les excuses ne manquent pas.

Pourtant comment voulez-vous que votre marque soit considérée comme crédible au sein des différents réseaux sociaux, si vous avouez ouvertement ou à demi-mot que vous n'avez pas le temps ou pas envie d'écouter ce que le marché pense de votre marque et de votre entreprise et d'entrer en conversation avec lui? La réponse me paraît évidente. Dans la vie réelle comme dans la vie virtuelle, c'est une très mauvaise entrée en matière car cela signifie que vous leur fermez la porte puisque vous n'avez pas de temps à accorder à vos clients existants et futurs.

L'excuse du manque de retour sur investissement n'est pas meilleure car elle ne tient pas la route. La problématique du ROI existe depuis la création de la publicité et du marketing. Elle n'a rien à voir avec l'apparition des médias sociaux. Bien au contraire. En effet, ces nouveaux outils permettent pour la première fois depuis la création des médias, il y a quelques centaines d'années de contrôler efficacement l'efficacité d'une campagne. Ses principaux acteurs, à l'exemple de Google et de son service Google Analytics, ont créé des tableaux de bords permettant de mesurer au franc près l'efficacité de vos campagnes de marketing en ligne. Mais pour que cette mesure soit efficace, il vous faudra fixer clairement vos objectifs de façon qualitative et quantitative. Et ce n'est pas une mince affaire pour la plupart des départements marketing que je connais. Ne serait-ce pas plutôt à cet endroit que le mat vous blesse?...

Si le ROI est important, le ROR ou retour relationnel l'est tout autant. Je vous invite à intégrer ce genre d'indicateurs de confiance et de qualité de vos relations avec votre clientèle dans votre tableau de bord. Ainsi vous obtiendrez une meilleure image de l'état de vos relations sociales avec vos clients et saurez plus rapidement et plus efficacement réagir le cas échéant.

La confiance est un élément essentiel des relations sociales. Son niveau détermine nos actions et nos réactions. Le manque de confiance en soi ou envers les autres déséquilibre nos relations. Il s'agit de la maîtriser pour mieux vivre - dans le cadre de notre vie professionnelle comme dans notre vie privée.


La confiance détermine nos actions. Pourquoi achetons-nous certains produits et services - pourtant onéreux - sans broncher, alors que certaines autres dépenses moins chères nous semblent inatteignables? Parce que nous accordons notre confiance à certains produits ou services mais pas à d'autres. A certaines marques mais pas à d'autres. A certaines personnes mais pas à d'autres.

Dans l'ère de l'hypercompétition, le degré de confiance d'une marque est essentiel à son succès. Puisque ce sera peut-être le seul élément différenciateur entre le produit d'une marque X et sa référence concurrente dans la gamme de produits de la marque Y.

Généralement nous n'aimons pas le risque non calculé. C'est la raison pour laquelle nous préférons acheter de bons produits que nous connaissons déjà afin de limiter le risque d'effectuer un mauvais achat et d'être confrontés à la réprobation de notre entourage. Et nos clients et prospects réagissent comme nous.

Parlons du prix maintenant. Bon nombre d'entreprises accordent des réductions de prix afin d'inciter de nouveaux clients à tester leurs offres. C'est bien souvent la solution de facilité (apparemment du moins) que choisira le néophite dans l'espoir de développer plus rapidement sa clientèle. Mais c'est une FBI! (Fausse Bonne Idée).

Réduire ses prix est une mauvaise idée car cela va diminuer le niveau de confiance de votre client à votre égard. Si vous m'offrez un rabais d'entrée de jeu, je vais penser que vous tentez de brader vos prix parce que vous n'arrivez pas à vendre vos produits, en raison d'une qualité médiocre ou d'un défaut caché par exemple.

Que pouvez-vous faire d'autre afin d'augmenter le degré de confiance de vos prospects à votre égard? Ils devraient pouvoir apprendre à mieux vous cerner. A mieux vous connaître afin qu'ils puissent déterminer si vos vues d'esprit sont compatibles avec les leurs. Si tel est le cas, il leur sera beaucoup plus facile de s'identifier à vous. Cela facilitera grandement vos relations d'affaires.

Pour ce faire, vous pouvez converser longtemps avec eux mais bon nombre de prospects n'auront vraisemblablement pas le temps pour cela. L'alternative serait de développer votre présence en vous faisant bien remarquer sur les réseaux sociaux. Mais vous risquez d'être dillué dans l'océan d'informations publié par les autres utilisateurs. En recherchant de l'information sur votre personne ou votre entreprise, le prospect pourra ainsi connaître votre parcours professionnel et vos croyance et déterminer ainsi plus facilement si vous êtes compatibles ou non et s'il désire intensifier cette relation commerciale numérique naissante dans la vie dite réelle.

Le Blog est un outil particulièrement propice au développement d'une empathie numérique qui conduit à l'augmentation du niveau de confiance envers le blogueur, grâce à la lecture de ses écrits (ou la consultation de ses vidéos, dimension multimédia oblige). Si vous n'êtes pas encore blogueur et que vous désirez développer votre capital de confiance, je vous invite à en créer un et je peux vous aider à lancer ce projet si vous avez besoin d'un coach en la matière.

D'autres outils existent (newsletter, livre blanc, podcast) mais le blog me semble préférable pour développer la confiance car il est simple d'utilisation, sert de réservoir central de vos différentes publications numériques et permet l'interaction sociale avec l'ensemble des réseaux sociaux grâce aux flux RSS qui vous permettent de diffuser son contenu directement sur votre page Facebook ou Linkedin pour n'en citer que deux.

Convaincus? Je me réjouis de lire bientôt vos publications afin de mieux vous connaître et vous accorder plus de confiance. Peut-être que ces lectures déboucheront sur un projet commun ou sur un mandat que je vous attribuerai. C'est tout le mal que je vous souhaite!

Dans ma pensée socalnomique précédente, je me suis exprimé sur la pyramide de la hiérarchisation de l'achat. Notre objectif de marketing social dans ce cadre est de devenir l'expert incontournable du domaine que nous maîtrisons le mieux. Nous pouvons choisir n'importe quel domaine d'activité, pourvu que nous le maîtrisions, en préférant néanmoins le choix d'un domaine encore peu exploité au sein duquel gravitent aussi peu de concurrence que possible (ce sera plus facile de se positionner au sein d'une niche encore vide que grouillante de concurrents)


Mais comment se faire reconnaître comme L'EXPERT de son domaine d'activités? Pour pouvoir bien se positionner il ne faut rien avoir à vendre directement. L'expert ne vend rien et ne se vend jamais. Il communique son expertise et attend qu'on le sollicite dans le cadre de la résolution d'un problème particulier. Lorsque vous diffusez des communications commerciales sous forme de publipostage ou d'actions d'e-mailing, vous transmettez votre communication à des gens qui ne sont pas (encore?) intéressés à bénéficier de vos produits ou services et qui risquent de ne l'être jamais s'ils vous rajoutent à leur liste noir de spammeurs indésirables, bloquant ainsi toute possibilité de les contacter à l'avenir.

En modifiant votre stratégie de communication, vous pouvez vous positionner comme un expert proposant des informations utiles aux différentes acteurs de la niche que vous aurez décidé d'occuper. Les gens intéressés liront vos informations et vous placeront en tête de liste dans leur cerveau dans le cadre de votre domaine d'activités. Et vous serez le premier expert qu'ils contacteront le jour où ils auront besoin de vos services.

Je ne suis pas opposé à la publicité ou au actions de marketing direct. Certaines situations justifient leur engagement. Mais ces formes de communications commerciales interruptives et non permissives, dont l'envoi ou la diffusion n'a pas été préalablement sollicitée ou acceptée par le destinataire, peuvent se révéler dangereuses pour votre réputation si leurs envois sont mal ciblés. Ce qui est pratiquement toujours le cas pour les raisons précédemment expliquées.

La principale erreur que font les jeunes consultants est de ne pas se considérer comme des experts, vraisemblablement par manque d'expérience et de confiance en eux, mais plutôt comme un marchand de savonnettes, un comptable ou un communicateur. Je n'ai rien contre les savonnettes et en achète régulièrement. Mais c'est moi qui décide la date et l'heure de mes achats. Et aucun marchand n'a besoin de me rappeler que je dois en acheter parce que ce sont des commodités qui n'ont pas vraiment de valeur à mes yeux.

Mais qu'est-ce-qu'un expert? Selon le dictionnaire, un expert est une personne qui a acquis des connaissances, des compétences grâce à la pratique et qui est spécialisée dans un domaine et chargée de juger, d'apprécier une situation. Il faut donc avoir de la bouteille, selon l'expression populaire.

Les personnes qui clament leur expertise dans un certain domaine d'activités ont souvent tendance à exclure leurs confrères et à faire croire qu'ils sont uniques au monde et disposent de la science infuse sur leur domaine d'activité. Mais ces niches obéissent aux lois du marché et évoluent au gré des campagnes de communication et des modes. Le positionnement est un outil marketing. Ne l'oublions pas. Chaque concurrent essaiera de tirer la couverture à lui.

Lorsque l'on considère l'inflation d'experts de tout horizon qui pullule dans le domaine si neuf des médias sociaux, on peut douter de certain en se demandant ce qu'ils faisaient deux ans auparavant. C'est pour cela que la lecture des biographies et des CV est si importante.

Prenons un temps d'arrêt lorsque nous envisageons d'engager quelqu'un qui s'autoproclame expert dans un certain domaine. Pour ma part, je peux comprendre un certain malaise car j'ai moi-même un certaine gêne lorsque des journalistes m'interviewent et me proclament "expert en média social, expert en réseau social, etc, etc, alors que je me considère plutôt comme un conseiller en communication intégrée qui s'intéresse aux nouvelles technologies de l'information et à leur impact sur notre société en créant une dizaine de réseaux sociaux différents pour tester ces nouveaux outils mais qui dispose d'une large panoplie d'autres outils dans sa besace qui dépassent la mode actuelle autour des médias sociaux.

Que se passe-t-il lorsque vous vous autoproclamez expert ou gourou de votre domaine d'activités? A part certains diplômes fédéraux (Expert comptable p.ex.) il n'existe aucune certification universelle d'expert. N'importe qui peut donc s'autoproclamer gourou de ceci ou gourou de cela et de le communiquer à tous vents. Mais le travail d'expert débutera réellement lorsque vous vous comporterez comme tel et non pas comme un vendeur de savonnettes.

Une fois que vous aurez accepté le fait de vous considérer comme un expert et que vous aurez suffisamment confiance en vous et en votre expertise, il vous faudra vous faire reconnaître par vos pairs et par l'opinion publique à travers vos actions. Sinon vous n'aurez aucune visibilité ni aucune reconnaissance. Mais vous ne deviendrez pas expert uniquement en racontant à autrui que vous en êtes un. Il va vous falloir le prouvez par des actes et mieux encore par des résultats communiqués à travers des écrits, des vidéos, des conférences, des interviews. Si vous assurez, les gens en parleront autour d'eux et le bouche à oreille s'établira. Centrez votre positionnement sur votre expertise et aidez les autres à mieux vivre à travers vos conseils avisés. Ce sera le meilleur moyen pour qu'ils vous rendent la balle en vous recommandant autour d'eux. Et votre carnet de commande enflera en conséquence, ...sans pourriel.

Je suis en train de lire un livre très intéressant intitulé "Unmarketing- Stop Marketing . Start Engaging" que l'on pourrait traduire approximativement dans notre langue francaise par le Guide de l'anti-marketing ou le Guide du démarketing. L'idée principale de cet ouvrage rédigé par l'auteur canadien Scott Stratten est de nous faire oublier les opérations de marketing traditionnel pour nous concentrer sur notre engagement réel dans la société de tous les jours. Ce livre passionnant me donne envie d'échanger avec vous les idées qui me traversent l'esprit à sa lecture. Je commence aujourd'hui avec le thème de la hiérarchisation des achats.


Scott Stratten a interrogé plus de mille propriétaires d'entreprises pour leur demander ce qu'ils achetaient. Le résultat de son enquête démontre que l'état d'une relation commerciale dépend du degré de confiance qui lie un acheteur à son fournisseur de produits ou services. Jusque là rien de nouveau sous le soleil. Mais attendez un instant.

Sachant cela, pouvez-vous m'expliquer pourquoi une grande majorité de nos entreprises investissent des montagnes d'argent de budget marketing pour tenter de convaincre des prospects inconnus ou méconnus à acheter leurs produits et services? C'est le meilleur moyen de jeter son argent par les fenêtre.

Les raisons de ce mauvais choix stratégiques sont multiples: solution de facilité (quoi de plus simple en effet que d'acheter des listes d'adresses de parfaits inconnus auprès d'un vendeur d'adresses), impatience (pourquoi miser sur une relation à long terme alors qu'on peut accélérer artificiellement la vente d'un produit grâce à une action marketing coup-de-poing tel qu'un rabais extraordinaire ou une grande opération de cassage de prix...qui risquera également de casser en passant l'image de marque de l'enseigne en question.

Nous le savons déjà dans le cadre de notre vie privée, l'établissement de bonnes relations basées sur la confiance prend du temps. Beaucoup de temps même. On ne peut pas accorder sa confiance du jour au lendemain et suivre aveuglément les conseils de son coiffeur, de son vendeur d'habits préférés ou de tout autre artisant sans avoir passé du bon temps avec lui et avoir reçu et appliqué beaucoup de conseils éclairés de sa part.

Pourquoi en irait-il autrement dans le cadre de notre vie professionnelle avec les grandes marques industrielles internationales? Il n'y a aucune raison à celà.

Sachons donc investir nos ressources au bon endroit. Ce sera le meilleur moyen d'obtenir d'excellents résultats car nos meilleurs clients reviennent et reviennent et reviennent encore faisant preuve d'une fidélité et d'un esprit évangéliste étonnant lorsqu'ils vous recommandent auprès de leurs proches. Récompensez-les au lieu de détruire vos marges et votre réputation de marque en bradant des produits à des clients qui ne vous connaissent même pas.

Sur ce, bon weekend!

On dit souvent qu'internet et les médias sociaux sont les faussoyeurs de la presse. La parution du premier numéro d'Ithaque il y a une dizaine de jours prouve - même si une fois n'est pas coutume - qu'une communauté dont certains membres se sont connus et conversent sur Twitter peut faire preuve d'innovation et muter le support papier traditionnel en un nouveau média qui ravira les Suisses romands et un nombre croissant de francophones hors de nos frontières à la recherche de partage, d'échange, de mélange de genres et de styles journalistiques à la fois décalé, citoyen et professionnel. Cest tout le mal que je leur souhaite.


Tôt ce matin, lorsque j'écoutais les nouvelles d'hier sur La Télé, je suis tombé sur l'interview très intéressante de Guillaume Henchoz, le sympathique rédacteur en chef du dernier-né de la presse suisse romande. En tant qu'ancien éditeur et amateur de médias sociaux, je n'ai pu que boire ses paroles lorsqu'il a expliqué que le projet de ce nouveau magazine ITHAQUE était né des différentes interactions générées par une communauté d'Internautes passionnés par à coups de 140 signes sur le réseau de Twitter.

Leur approche rédactionnelle mérite toute notre attention puisque cette nouvelle rédaction pratique la politique du "moins vite plus loin", une réécriture en quelque sorte du concept "Slow-Up" pratiqué dans le tourisme, afin de raconter des histoires et cogiter des idées, selon la page de présentation du titre de leur site Web.

Habitant en face d'une distillerie, je ne peux qu'applaudir leur volonté de "distiller de la lenteur dans la pratique du journalisme" ;-) et de diminuer notre dépendance aux news en temps réel qui ne change en rien notre vie mais nous oblige à interrompre nos activités tout au long de la journée pour être au courant des dernières informations du monde. Bravo! Jespère que vous tiendrez le coup.

Organisés en association, ce nouveau titre se définit, selon son site web "comme un média à but non lucratif. Cela ne signifie aucunement que le canard se fiche de son seuil de rentabilité. Il faut comprendre plutôt derrière cette dénomination la volonté d’investir directement dans le journal tous les éventuels bénéfices réalisés par sa vente. Ces derniers ne sont pas redistribués à des propriétaires, des investisseurs ou des actionnaires mais directement utilisés pour assurer la pérennité de notre projet média." Fin de la citation. Ce qui rend ce projet encore plus sympathique à mes yeux.

Avis aux amateurs dont la plume ou plutôt le clavier démange: ITHAQUE ne rétribue pas les membres de sa rédaction et ses contributeurs. Ces derniers gardent la propriété intellectuelle des textes et des créations qu’ils ont proposé au journal. Un projet très social donc qui trouve certainement ses racines dans le développement des nouveaux médias sociaux retransposé sur support papier. A la lecture de ces quelques phrases, mon instinct d'ex-éditeur/journaliste reprend du poil de la bête et j'ai bien envie de leur proposer une collaboration sous une forme ou une autre.

Cerise sur le gâteau, on remarque rapidement que les promoteurs de ce projet ont également bien pensé la distribution du titre. Au lieu d'être noyé dans nos chaînes de kiosques, Ithaque est distribué en librairie afin de séduire la communauté plus ouverte à l'innovation littéraire et journalistique des amateurs de livres plutôt que la grande masse des dévoreurs de journaux, cigarettes et magazines. Et ils ont même pensé à assurer une distribution campagnardes puisque je peux acheter mon exemplaire à Oron-la-Ville à cinq minutes de ma résidence campagnarde. Bien pensé l'équipe!

Après leur avoir lancé toutes ces fleurs, il ne me reste plus qu'à poursuivre la lecture passionnante du premier numéro d'ITHAQUE dont je vous propose encore le sommaire du premier numéro, afin de lever toute zone d'ombre pour vous pemettre de l'acheter à votre tour et de rejoindre ainsi cette nouvelle communauté qui nous prouve que les médias sociaux sont souvent capables de rendre notre monde meilleur - pour autant qu'ils soient bien utilisés. BRAVO ITHAQUE ET LONGUE VIE!

Modestie helvétique oblige, Google n'a vraisemblablement pas trop à craindre les assauts de son nouveau concurrent Horizobu. Pourtant ce nouveau moteur de recherche qui mise principalement sur le web social et les médias sociaux offre une bien meilleure qualité de recherche que son célèbre concurrent. En effet, Horizobu adopte la stratégie "du plus pour le moins" en misant résolument sur la recherche qualitative au détriment du nombre d'occurences trouvées. A l'ère du Web 2.0 cette stratégie pourrait faire toute la différence...


Le professeur bernois Werner Hartmann est un homme modeste qui n'espère par détrôner le géant Google grâce à sa dernière invention. Ce chargé de cours de technologies informatiques de la Haute Ecole Pédagogique de Berne et son collègue Sam Zürcher viennent pourtant de dévoiler un nouveau service de moteur de recherche baptisé HORIZOBU.

Ce projet est né dans un garage il y a trois ans. Leur idée de base était simple: Utiliser les spécificités du web 2.0 pour un service de découverte d'informations numériques. En d'autres mots, il se sont appliqués à développer une machine à découvrir l'environnement au lieu d'un robot de recherche. Ceci étant dit, voyons plus concrètement comment fonctionne ce nouveau service. Lorsqu'on effectue une recherche, Horizobu consulte d'abord des médias sociaux populaires tels que Wikipedia ou youtTube et analyse les interactions relatives à ce sujet auuprès des utilisateurs de ces services. Cette nouvelle stratégie de recherche d'informations enrichit les résultats actuels auxquels Google et compagnie nous ont habitués et permet d'enrichir la recherche par de nouveaux résultats jusqu'ici invisibles sans l'apport d'Horizobu.

Mais la différence ne s'arrête pas là. Les créateurs d'Horizobu ont remarqué que bon nombre d'internautes ne s'intéressent qu'aux premiers résultats d'une recherche sur les services qu'ils utilisent habituellement et oublient tout le reste. Prenant en compte cette pratique, Horizobu n'affiche que les meilleurs résultats d'une recherche et oublie les résultats moins pertinents.

Cerise sur le gâteau, l'utilisateur peut enregistrer et ordonner l'information à sa guise et la transmettre aux membres de ses communautés d'intérêt par l'intermédiaire des réseaux sociaux.

Je vous invite à visionner la vidéo explicative qui décrit ce nouveau service et à vous l'approprier dans vos recherches. Vous verrez on y devient vite accro. Et cela contribue à démontrer que les informaticiens suisses n'ont rien à envier à leurs concurrents anglo-saxons. Cocorico!

Le développement des médias sociaux est en train de changer notre vie de façon irréversible. Cette vidéo explique visuellement la pensée socialnomique et son inéxorable parcours au sein de nos vies professionnelles comme privées





Lundi 20 Juin 2011 | Commentaires (0)
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